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hippocampe65 le 20-02-2011 à 19:08:26
J’ai jeté un coup d’œil sur la mer, je lui ai vidé mon cœur, et raconté tous mes malheurs, la mer m’a alors parlé et dit : "le bon dieu t’ouvrira ses portes, et que mon amour sera saint, et sauf et que je ne pouvais compter que sur le bon dieu"

hippocampe65 le 20-02-2011 à 19:06:20
J’ai jeté un coup d’œil sur la mer, je lui ai vidé mon cœur, et raconté tous mes malheurs, la mer m’a alors parlé et dit : "le bon dieu t’ouvrira ses portes, et que mon amour sera saint, et sauf et que je ne pouvais compter que sur le bon dieu"

Triple-Plume le 07-02-2011 à 01:46:40
bonne soirée en visite jolie blog bisoux

Lechatbeaute le 07-02-2011 à 00:00:43
Qui aurait pu penser que les dolmens fussent sages ? Et pourtant l'aède chantant les pierres y puisent une réelle sagesse antique. Ton verbe et ta phrase, ta prose puise sa source aux mysteres des brumes, des cieux, des forêts et des arbres. Quelle maitrise lou !

??? le 05-02-2011 à 21:41:07
c'est si joli...

equinox 2 le 01-02-2011 à 10:44:39
très joli poème, cela me fait penser à une légende bretonne. l'île du Lok, Houarn se rendit donc au bord de la mer, chez un batelier, afin de le conduir à l'île du Lok.Il trouva sans peine l'étang placé au milieu de cette île, et qui entouré de gazons marins à fleurs roses.Comme il en faisait le tour, il aperçut, vers une extrémités, à l'ombre d'une touffe de genêts, un canot couleur de mer qui flottait sur les eaux dormantes.Ce canot avait la forme d'un cygne endormi, la tête sous son aile.Houarn qui n'avait jamais rien vu de pareil, s'approcha avec curiosité et entra dans la barque pour mieux voir; mais à peine y eut-il mis le pied que le cygne eut l'air de s'éveiller; sa tête sortit de dessous ses plumes, ses larges pattes s'étendirent sur l'eau et il s'éloigna brusquement du rivage.Houarn voulut se jeter à la nage, alors l'oiseau enfonça son bec dans les eaux et plongea, en l' entraînant avec lui. Et il parvint ainsi à la demeure de la Groac'h.C'était un palais de coquillages qui surpassait tout ce que l'on pouvait imaginer, on y arrivait par un escalier de cristal, fait de telle manière que, lorsqu'on y posait le pied chaque marche chantait comme un oiseau des bois!Tout autour, on voyait d'immenses jardins où grandissaient des forêts de plantes marines et des pelouses d'algues vertes toutes parsemées de diamants au lieu de fleurs, la Groac'h était là, habillée d'une toile vert de mer, fine et souple comme une vague, ses cheveux noirs, entremêlés de corail, tombaient jusqu'à ses pieds et son visage blanc rose ressemblait, pour l'éclat, à l'intérieur d'un coquillage. Voila la suite pour une prochaine visite de oxxxx